Mais uma canção da Comuna, com palavras de um dos seus combatentes, Eugène Pottier (música de Pierre Forest).
Quand viedra-t-elle?
Interprétation : Groupe 17, 1977
J'attends une belle,
Une belle enfant,
J'appelle, j'appelle,
J'en parle au passant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
J'appelle, j'appelle,
J'en parle au passant.
Que suis-je sans elle?
Un agonisant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Que suis-je sans elle?
Un agonisant.
Je vais sans semelle,
Sans rien sous la dent...
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Je vais sans semelle,
Sans rien sous la dent
Transi quand il gèle,
Sans gîte souvent.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Transi quand il gèle,
Sans gîte souvent,
J'ai dans la cervelle
Des mots et du vent...
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
J'ai dans la cervelle
Des mots et du vent.
Bétail on m'attelle
Esclave on me vend.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Bétail, on m'attelle.
Esclave, on me vend.
La guerre est cruelle,
L'usurier pressant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
La guerre est cruelle,
L'usurier pressant.
L'un suce ma moelle,
L'autre boit mon sang.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
L'un suce ma moelle,
L'autre boit mon sang.
Ma misère est telle
Que j'en suis méchant.
Ah je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Ma misère est telle
Que j'en suis méchant.
Ah! viens donc, la belle
Guérir ton amant!
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
J'attends une belle,
Une belle enfant,
J'appelle, j'appelle,
J'en parle au passant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
J'appelle, j'appelle,
J'en parle au passant.
Que suis-je sans elle?
Un agonisant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Que suis-je sans elle?
Un agonisant.
Je vais sans semelle,
Sans rien sous la dent...
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Je vais sans semelle,
Sans rien sous la dent
Transi quand il gèle,
Sans gîte souvent.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Transi quand il gèle,
Sans gîte souvent,
J'ai dans la cervelle
Des mots et du vent...
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
J'ai dans la cervelle
Des mots et du vent.
Bétail on m'attelle
Esclave on me vend.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Bétail, on m'attelle.
Esclave, on me vend.
La guerre est cruelle,
L'usurier pressant.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
La guerre est cruelle,
L'usurier pressant.
L'un suce ma moelle,
L'autre boit mon sang.
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
L'un suce ma moelle,
L'autre boit mon sang.
Ma misère est telle
Que j'en suis méchant.
Ah je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
Ma misère est telle
Que j'en suis méchant.
Ah! viens donc, la belle
Guérir ton amant!
Ah! je l'attends, je l'attends!
L'attendrai-je encor longtemps?
6 comentários:
Miguel,
Deixo-te uma informação «técnica»: quando se usa o «Ler mais», DEPOIS de um vídeo, este não aparece a não ser quando se abre a 2ª parte do post(ou seja não é visto quando se chega ao blogue). É o que está a acontecer aqui.
É um disparate, mas é assim. Talvez o Miguel Madeira tenha alguma pista, a mim acontece-me o mesmo.
Abraço
Obrigado, Joana.
Mas acontece que, quando abro directamente o blogue, eu vejo o vídeo, mesmo sem carregar no "ler mais".
Enfim, vou abster-me pra a próxima de inserir a quebra de página.
Abraço
miguel
Muito obrigado caro Miguel,
Na verdade, a versão que eu conhecia era ligeiramente diferente e, se não estou em erro (mas posso estar a confundir, era cantada pelo Mouloudji.
Mas esta versão é muito bonita e a cantiga é belissima.
O disco a que aludia - provavelmente ainda se deve poder encontrar em casa dos meus pais - acho que foi editado pouco depois do centenario da Comuna.
Seja como for, um grande abraço e muito obrigado por iluminar assim o meu dia, lembrando que Paris ja foi uma cidade rebelde e poeta, e não a triste cidade "bling-bling" em que se tornou hoje, submetida aos "Nicolas" herdeiros do sordido espirito versalhês...
Caro João,
também conheço outras interpretações - embora não a do Mouloudji, que, caso exista, muito gostaria de encontrar. Procurei em vão um vídeo com Le Temps des cerises interpretado por ele, que o faz com rara sobriedade e acerto, tal como acontece também com a sua interpretação de Les feuilles mortes (só ele canta o poema todo, à beira da fala, e tornando-o, acho eu, uma canção incomparável). Mas, em CD, recomendo-lhe o Auto-portrait (2cd), onde encontrará estas duas e muitas outras belíssimas canções do nosso herói.
Há ainda, creio que disponível, uma preciosa Anthologie de la chanson française em 14 ou 15 cds, organizada pelo Marc Robine, em cujo cd dedicado à histoire de France aparece uma versão esplêndida da canção que aqui postei para si. A antologia é fabulosa e tem, de um modo geral, intérpretes magníficos, embora não demasiado conhecidos (os mais conhecidos serão a Michèle Bernard, o Yacoub e a Anne Sylvestre, além do Robine, que, sem grande voz, canta todavia muito bem certos títulos como o Giroflé).
Bom, vou ver se encontro mais qualquer coisa do Mouloudji para postar breve.
Cordial abraço
msp
Já percebi, Miguel, fiz a experiência: vê-se quando se acede com o Internet Explorer, não se vê com o Firefox. Pelo menos, é o que se passa comigo.
Deve ser isso, Joana. Obrigado pela precisão. Acrescento que também se vê quando se acede com o Safari - que é o meu caso. Mas, pelo sim e pelo não, vou evitar introduzir quebra de página quando postar vídeos.
Abrç
miguel sp
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